Dans un speakeasy new-yorkais pour habitués, à l’atmosphère moite et électrique, cinq mafieux alcoolisés se déchirent une pin-up voluptueuse sur du Miles Davis, du James Brown, et du Betty Boop… Plusieurs styles se côtoient, et se déstructurent sur le swing des années 20 et 30. La danse house, légère et aérienne, flirte avec les pas endiablés du charleston. Le breakdance tourbillonne avec le lindy hop et le hip hop freestyle délire avec un jitterbug explosif. Dance N’ Speak Easy revisite ainsi les années troubles de la prohibition aux États-Unis, en jouant sur les références musicales afro-américaines des années 20 à nos jours , en passant par la blaxploitation des années 70 et le gangsta rap des années 90.